Cyclife France a développé une offre mobile permettant de traiter des déchets directement sur les sites de production, les centrales nucléaires, les laboratoires et usines.

Certains déchets sont peu transportables en raison de leurs caractéristiques radiologiques ou physico-chimiques. Il est alors préférable de déplacer le procédé de traitement plutôt que les déchets eux-mêmes.

Les machines mobiles conçues par Cyclife France permettent de les conditionner dans le respect de spécifications rigoureuses avant expédition à l’ANDRA.

Chaque machine mobile conditionne sur les sites de production des déchets de différente nature.

Ainsi, les machines mobiles Mercure traitent les résines échangeuses d'ions utilisées pour épurer les eaux des circuits des centrales nucléaires. Le procédé mis en œuvre par Cyclife France sur les machines Mercure permet un enrobage des résines dans une matrice de résine Epoxy. Le déchet ultime est conditionné dans un conteneur en béton renforcé par une protection radiologique en acier, fabriquée à Centraco, lorsque cela est possible.

Cyclife France exploite également une unité mobile de blocage des concentrats radioactifs issus du traitement par évaporation des effluents produits par les centrales nucléaires. Cette unité met en œuvre un procédé de blocage par liant hydraulique.

Au-delà de ces procédés, Cyclife France est en mesure de répondre à de nombreuses sollicitations de prise en charge et de traitement des déchets in situ, comme par exemple les nettoyages de puisards, des évacuations de boues, du tri spécifique, etc.

Pour l’ensemble des prestations réalisées, Cyclife garantit un colisage :

• conforme aux prescriptions relatives aux transports (ADR).
• conforme aux spécifications de l’ANDRA pour le stockage de surface des déchets radioactifs.

Quelques exemples de nos prestations de nettoyage sur sites :

Depuis 1996, les unités mobiles Mercure 1 et 2 ont réalisé plus d’une centaine de campagnes d’enrobage de résines échangeuses d’ions, correspondant à une production de 4 400 m³ (valeurs à fin 2019) sur les centrales nucléaires du groupe EDF et d’autres sites de production.